Peut-on faire deux fois le même coup ? L’année dernière, Apple présentait l’iPhone 6S, un smartphone avec un arrière-gout d’iPhone 6 très prononcé. Mais pour justifier cela, Apple déployait un message marketing efficace : « une seule chose à changer : tout ! » Ce qui voulait dire que la plate-forme technique était très différente et que de nombreux ajouts ont été faits : meilleur chipset, deux fois plus de RAM, un meilleur capteur iSight, une meilleure caméra Facetime, une connexion étendue, un écran 3D Touch et une nouvelle version d’iOS. Une version « S » dans la plus pure des traditions de la firme de Cupertino, mais aussi ses habitudes avec un renouvellement bisannuel.

Un iPhone 7 très proche de l'iPhone 6S

Cette année, toutes les rumeurs affirmaient que l’iPhone 2017 serait très proche de l’iPhone 2016, au moins en apparence. D’où certaines spéculations sur le nom de ce smartphone : iPhone 6SS, iPhone 7, iPhone 6SE ? Ce sera finalement iPhone 7, Apple estimant que les changements opérés, même si elles ne sont pas esthétiques, méritent amplement le changement de génération. Pour notre part, nous doutons un peu de cela, tant les spécifications techniques du smartphone correspondent réellement à une version « S » de l’iPhone 6S. Sans compter sur le fait que les moutures 2016 et 2017 de l’iPhone sont très semblables... Voyons voir un peu la fiche technique :

Il y aurait beaucoup à dire sur cette fiche technique. Retenez simplement que le GPU est logiquement un modèle Imagination Technologies (certainement PowerVR 8XT). Vous remarquerez qu’un grand travail a été fait sur la photo (à l’avant comme à l’arrière), avec des résultats impressionnants, comme nous le verrons. Tous les paliers de stockage ont été doublés. La RAM reste inchangée sur le modèle 4,7 pouces. L’écran également, même si l’étalonnage des couleurs a été (théoriquement) amélioré. La batterie gagne 14 % de capacité. Il y a désormais deux haut-parleurs. Et les dimensions du mobile ne changent pas d’un iota.

Un sentiment de déjà-vu

Commençons justement ce test par un tour du propriétaire. Comme le laissent entendre leurs dimensions, les deux smartphones sont très proches. Presque comme deux gouttes d’eau. Nous avons mis côte à côte l’iPhone 7 (en noir) aux côtés de son prédécesseur (ici en version gris sidéral). Et il en ressort une étrange impression de déjà-vu. D’abord parce que les deux téléphones se ressemblent. Mais aussi parce que d’autres téléphones sortis cette année (nous pensons par exemple au Meizu Pro 6) ont adopté ce châssis. Autant donc l’avouer : l’iPhone 7 est loin d’offrir une esthétique inédite.

À l’avant, nous retrouvons une dalle 4,7 pouces relevée d’un verre minéral oléophobique 2.5D. Sous l’écran se trouve le nouveau « bouton » TouchID, même si ce mot ne lui correspond plus vraiment. Vous remarquerez d’ailleurs le soin d’Apple de créer l’illusion visuelle que rien n’a changé en adoptant avec exactitude la façon d’intégrer Touch ID. Alors que c’est ici que l’un des plus gros changements est à relever. Au-dessus de l’écran se trouve toujours l’écouteur téléphonique, flanqué à sa gauche de la webcam Facetime. Un capteur qui ne donne pas l’impression d’avoir changé. Et pourtant...

À l’arrière, le plus gros changement est la disparition des bandes horizontales où sont logées les antennes. Désormais, les bandes suivent le contour du dos du téléphone, mais coupent toujours aux mêmes endroits les tranches latérales. Autre changement visible : le capteur photo. Il est toujours protubérant (ce dont s’amuse généralement la concurrence), mais il est plus large (offrant une plus grande ouverture) et son contour est désormais protégé par la coque du téléphone (un peu comme un volcan). À sa droite, le microphone pour la réduction de bruit active est toujours présent, ainsi que le flash, lequel ne compte plus deux, mais quatre LED. Les logos et les marquages CE n’ont pas bougé.

Adaptateur 3,5 mm fourni

Passons aux tranches. Celle de droite est identique à celle de l’iPhone 6S, tandis que celle de gauche est similaire à un petit détail près : l’espace entre les deux boutons de contrôle du volume est maintenant plein et non plus creusé dans la coque en aluminium. Au toucher, les boutons accrochent très légèrement moins quand vous passez le doigt de l’un à l’autre. Mais c’est un détail qui n’intéressera que les propriétaires d’un iPhone 6S.

La tranche du haut est vierge, comme l’année dernière. Enfin, observons celle du bas. Comme annoncé, l’iPhone 7 ne compte plus de jack 3,5 mm et une seconde grille de haut-parleur le remplace. Le casque EarPods fourni avec est compatible Lightning. Et si vous avez un casque traditionnel, un adaptateur est fourni dans la boîte. Derrière cette seconde grille se cache le microphone et non le second haut-parleur indiqué plus haut. Ce dernier est situé sous la coque en aluminium, à gauche du flash LED.

La prise en main du smartphone est très similaire à celle des deux derniers iPhone, autant être honnête. Une remarque que nous nous faisons de plus en plus souvent ces derniers temps : iPhone SE similaire à l’iPhone 5S, iPhone 7 similaire à l’iPhone 6S, lequel était déjà très proche de l’iPhone 6. Cela fait donc longtemps qu’Apple n’a pas renouvelé le design de ces produits. Et quand on sait que la firme de Cupertino n’en sort que deux ou trois par an, l’impression de déjà-vu est vraiment tenace.

Un bouton Touch ID vraiment révolutionnaire

Test de l’Apple iPhone 7 : une version « S » de l’iPhone 6S qui ne veut pas se l’avouer

Il y a toutefois deux petites remarques à ce sujet. La première concerne le bouton Touch ID. Comme nous l’avons fait remarquer, cet élément est visuellement identique, mais techniquement très différent. Il ne s’agit pas d’un bouton mécanique, mais d’une surface tactile avec capteur de pression qui en imite le comportement. Si vous êtes actuellement propriétaire d’un iPhone et que vous déverrouillez votre téléphone avec Touch ID (et non le bouton d’allumage sur la tranche), vous verrez rapidement la différence : c’est plus rapide.

Seconde remarque, toujours à propos de la mise en marche, Apple a paramétré par défaut le réveil du mobile en cas de saisi du mobile dans la main. Prenez le téléphone et il s’allume tout seul. Inutile donc d’appuyer sur Touch ID pour consulter les nouveaux gadgets de l’écran de verrouillage d’iOS 10 dont nous reparlerons très vite.

Avant cela, évoquons l’écran. Il s’agit d’une dalle IPS dont la taille et la définition n’ont pas changé depuis deux ans. Mieux encore, la résolution n’a pas changé depuis l’iPhone 4 : 326 pixels par pouce, ce qui correspond peu ou prou à un écran 720p chez les concurrents. Nous aurions tendance à penser qu’il est grand temps qu’une vraie révolution survienne dans ce domaine, même si la dalle IPS offre ici de très bonnes caractéristiques : angles de vision, contraste, luminosité en pleine lumière, etc. Par rapport à l’iPhone 6S, les couleurs de l’iPhone 7 semblent tirer vers le jaune. Cela manque parfois un peu de piqué vis-à-vis d’une concurrence qui propose des résolutions supérieures à 400 pixels par pouce (sans parler de Samsung et des 577 pixels par pouces du Galaxy S7). Nous remarquons en revanche que les couleurs sont effectivement plus vibrantes que l’année dernière, résultat de l’amélioration de la gestion colorimétrique.

iOS 10 : des widgets, des widgets et des widgets

Une fois allumés, nous arrivons dans iOS 10. Une version améliorée d’iOS 9 que vous avez peut-être appris à connaître sur les smartphones précédents, mais qui profite ici pleinement de toutes les avancées technologiques intégrées à l’iPhone 7. En pratique, tous les menus et toutes les fenêtres présentes dans la version précédente d’iOS sont de retour ici. L’accueil de l’interface est toujours placé au même endroit (sur l’écran le plus à gauche, excepté celui dédié à Siri). Les panneaux se créent les uns après les autres au fur et à mesure que se remplissent les panneaux.

Contrairement à Android, il n’est pas possible de choisir librement l’emplacement des icônes. En glissant un doigt vers le bas depuis le milieu de l’écran, la recherche globale apparait. Son usage est identique celle d’iOS 9. En glissant un doigt vers le bas depuis le haut de l’écran, vous ouvrez le panneau des notifications. Dans ce dernier, se trouvent désormais les notifications enrichies d’iOS 10. En glissant vers la gauche ou vers la droite, vous accédez aux deux panneaux du volet des notifications : celles passées (à droite), avec les messages et les appels manqués par exemple, et celles présentes et futures (à gauche), avec vos prochains rendez-vous, l’actualité, la météo, la Bourse, etc. Visuellement, ce panneau est plus riche et plus complet.

En glissant le doigt du bas de l’écran vers le haut, vous ouvrez comme toujours le volet de paramétrage rapide. Ce dernier a également évolué puisque les contrôles de l’application musicale ont été déportés sur un second panneau (à droite), laissant ainsi plus de place à Night Shift, AirDrop et AirPlay. En glissant enfin le doigt du bord gauche vers le centre, vous accédez au volet Siri, déployé dans iOS depuis 2015. Ce panneau correspond à l’onglet Aujourd’hui du volet des notifications que nous venons de voir. D’autres widgets y sont accessibles, ainsi que le moteur de recherche global.

Des applications système désinstallables

Deux changements dans iOS 10 ont attiré notre attention. D’abord, certains raccourcis d’application accessibles avec 3D Touch (appui forcé sur l’écran) sont désormais dynamiques. Il ne s’agit plus simplement d’un raccourci pour accéder à une fonction. Appuyez sur Météo pour afficher les prévisions de la ville où vous vous trouvez, sans ouvrir l’application. Même chose avec Bourse, Note, Plans, etc. Second changement, largement évoqué lors de la dernière conférence WWDC : les widgets sur l’écran de verrouillage. Grâce à ces widgets, dynamiques et interactifs, il n’est plus nécessaire de déverrouiller le mobile pour accéder rapidement à de nombreuses informations. Ce qui ne veut pas dire qu’il est possible de répondre à un message sans débloquer le mobile... Évidemment, les développeurs ont été invités à tirer avantage de cette fonctionnalité.

Un dernier point sur l’interface, laquelle n’a pas beaucoup changé, mais s’est considérablement étoffée : les applications préinstallées. Leur nombre n’a pas baissé. Bien au contraire, il y en a même une nouvelle : « Maison ». Il s’agit du hub central où vous pourrez contrôler l’ensemble des appareils domotiques compatibles HomeKit. Il en existe déjà quelques-uns dans le commerce, mais leur nombre augmentera certainement considérablement dans le futur. Notez également que d’anciennes applications ont également été améliorées : Photos, Plans, Musique, etc. Nous avons inséré un florilège de certaines d’entre elles.

Si le nombre d’applications préinstallées n’a pas baissé, Apple a toutefois rempli une part de la promesse faite au printemps dernier : trouver une solution pour baisser l’empreinte des applications inutilisées dans la mémoire interne (laquelle n’est pas extensible). Désormais une très grande partie de ces applications peuvent être supprimées. Celles qui ne bougeront pas sont : Photos, Appareil Photo, Horloge, Wallet (pour Apple Pay), App Store, Santé, Réglages, Téléphone, Message et Safari. Toutes les autres peuvent disparaitre, même Apple Musique, Facetime, Apple Plans, iTunes Store, etc.

Encore plus fluide, encore plus puissant

À l’usage, l’iPhone 7 offre une fluidité et une aisance similaire à celles des iPhone précédents. Pas de surprise : il n’y a pas de ralentissement, pas de tapotement oublié, pas d’appels à Siri sans réponse (même si parfois, la réponse ne correspond pas tout à fait à celle que vous attendiez). En bref, aucune mauvaise surprise. Pour ceux qui ont actuellement un iPhone, vous aurez certainement besoin de quelques minutes d’adaptation pour maîtriser le nouveau bouton « Home », mais guère plus. D’autant que, ce bouton « Home », vous aurez tendance à moins l’utiliser que précédemment, puisque l’iPhone s’allume de lui-même si vous le prenez dans votre main...

Derrière cette fluidité se cache la plus puissante plate-forme mobile actuelle, sans l’ombre d’un doute. Pour rappel, l’iPhone 7 s’appuie sur un chipset A10 Fusion, avec deux dual-core Hurricane cadencé à 2,34 GHz et un processeur graphique inconnu, mais certainement en provenance d’Imagination Technologies. L’ensemble est épaulé par 2 Go de mémoire vive et optimisé par Apple qui montre une fois encore une belle maîtrise de l’ensemble de la chaîne de valeur : composants, plate-forme, système d’exploitation. Le résultat est sans appel : sur AnTuTu, le smartphone atteint 177869 points, soit 35 points de mieux que le meilleur des smartphones sous Snapdragon 820.

Sur Basemark OS II, il obtient 3439. Il s’agit du premier smartphone à dépasser les 3000 points depuis que nous avons commencé les tests techniques avec cet outil. Et seul le OnePlus 3 dépasse les 2500 points. C’est dire la différence de niveau. Enfin, sur 3DMark, nous avons obtenu des scores entre 20 % meilleurs sur IceStorm Unlimited que ceux du OnePlus 3 et du Xperia XZ. Sur Slingshot ES, l’avantage de l’iPhone 7 est moins flagrant, puisqu’il se fait dépasser par ces deux mêmes smartphones. Si les GPU Adreno tiennent supporte donc la comparaison avec les GPU d’Imagination Technologies, ceux d’ARM, les Mali, sont loin de les égaler, même avec des configurations haut de gamme à 12 coeurs, comme dans l’Exynos 8890 du Galaxy S7.

Expérience ludique et multimédia similaire

De la maîtrise donc et de la performance. Voilà une parfaite combinaison pour offrir un smartphone capable de tout, avec une autonomie en hausse par rapport à l’iPhone 6S, grâce à une meilleure batterie et des composants puissants, mais moins gourmands. Une triple bonne nouvelle donc, qui se ressent presque dans tous les usages, que ce soit ceux du quotidien ou en multimédia. Ce qui nous amène évidemment au jeu vidéo. Et à Dead Trigger 2, notre application étalon. Nous avons été évidemment charmés par la fluidité du jeu, l’iPhone 7 délivrant ici une expérience très proche de celle de l’iPhone 6S, à un détail près : le son.

Car, l’iPhone 7 est pourvu de deux haut-parleurs et non plus un seul. L’écouteur téléphonique en cache en effet un second, tandis que le moteur haptique semble prendre le rôle de caisson de basse. Soit une émulation de système 2.1 plutôt puissante et cohérente, offrant une ambiance sonore qualitative non seulement pour joueur (à Dead Trigger 2 ou à Final Fantasy IX, par exemple...), ou pour regarder un film ou une série sans être obligé d’enfiler un casque. Une très bonne nouvelle. D’autant plus qu’en l’absence de port jack 3,5 mm, l’usage d’un casque filaire n’est pas toujours pratique. Un dongle qui se perd. Un port Lightning non accessible parce que le smartphone est en charge. Etc.

Même impression en vidéo : le son fourni par les deux haut-parleurs est puissant et clair, même s’il n’est pas particulièrement « enveloppant ». Regarder un film ou une série sans casque audio n’est donc plus une torture auditive. Encore faut-il évidemment arriver à transmettre vos vidéos sur l’iPhone 7... iTunes a beau évoluer avec le temps (plus clair, plus simple, plus complet), il reste la principale barrière multimédia des smartphones d’Apple. Un défaut qui n’a pas perdu de son éclat avec le temps, bien au contraire, surtout depuis que le contenu est devenu un levier de croissance présent et futur pour la firme de Cupertino. Pas question donc de faciliter la vie à ceux qui téléchargent des films, légalement ou non.

Toujours très équilibré en photo

Finissons enfin avec la photographie. Pour rappel, l’iPhone 7 utilise un capteur iSight de 12 mégapixels, comme avec l’iPhone 6S. Cependant, il y a de nombreuses améliorations. En effet, il est associé à trois nouveaux éléments : un stabilisateur optique, auparavant réservé à la version phablette, un flash true-tone avec quatre LED (et non plus deux) et un nouvel objectif dont l’ouverture passe de f/2.2 à f/1.7. Celui-ci est toujours protégé par un verre en saphir synthétique. Le positionnement d’Apple vis-à-vis de la photo est donc similaire à celui de Samsung : pas forcément plus de mégapixels au compteur, mais plus de luminosité, plus de contraste et moins de flous dus au tremblement de l’utilisateur. Résultat ?

D’abord les points positifs. Le résultat est excellent, sans pour autant être meilleur que celui du Galaxy S7 ou de l’iPhone 6S. Les couleurs sont respectées et la luminosité est bonne, même dans les coins les plus sombres. La photo est équilibrée, sans aucune fausse note : la ruelle est éclairée et les nuages bien dessinés. Nous remarquons moins de déchets dans nos photographies : le stabilisateur optique offre enfin de quoi compenser les mouvements incontrôlables des bras ou du corps. Si bien qu’il y a moins besoin de recommencer chaque photo. En revanche, nous remarquons aussi deux petits défauts. D’abord, il y a du grain qui se forme quand vous zoomez. Ensuite, cela manque un peu de contraste. Bien sûr, cette scène très pluvieuse n’aide pas à révéler les vraies qualités du capteur. D'autant plus que nous sommes tatillons. Voyez donc le beau résultat en pleine nuit ci-dessous...

L'iPhone reste l'iPhone...

En conclusion, l’iPhone 7 est un excellent smartphone vis-à-vis de la concurrence. Largement au-dessus techniquement, présentant une prise en main idéale, l’iPhone 7 offre un équilibre sans égal entre le hardware et le software. Optimisé à outrance, ce smartphone parvient à offrir plus avec une fiche technique en apparence moins bonne. Mais Apple a choisi chaque composant pour assurer la puissance et l’autonomie, apprenant d’une part de Qualcomm pour la composition du chipset et de Samsung pour la photo ou la mémoire. Nous sommes en outre charmés par le choix du faux bouton Touch ID tactile, plus solide que le bouton mécanique des années précédentes. L’iPhone reste donc l’iPhone. Il n’y a pas de doute là-dessus.

Nous avons cependant trois regrets vis-à-vis de ce téléphone, et aucun ne concerne le port jack 3,5 mm. D’abord, il est de plus en plus cher, ce qui est de moins en moins justifié. Le rapport qualité-prix est de moins en moins bon, notamment quand il est placé face au OnePlus 3T, un concurrent crédible et 300 euros moins chers environ. Ensuite, nous regrettons que le premier palier de stockage, commercialisé 769 euros, n’offre que 32 Go de mémoire. Face à une concurrence qui en propose deux ou quatre fois plus au même prix, Apple démontre que le mercantilisme est devenu sa première priorité (et non la satisfaction du client). D’autant plus que le forfait « gratuit » d’iCloud ne contrebalance pas du tout.

... peut-être même un peu trop ?

Enfin, avouons que l’iPhone 7 est clairement un « iPhone 6SS ». Il y a, au mieux, autant de nouveautés dans l’iPhone 7 vis-à-vis de l’iPhone 6S, que d’innovations entre l’iPhone 6S et l’iPhone 6. Nous aurions aimé une nouvelle proposition qui se voit et qui se ressent çà la prise en main. Si vous avez un iPhone 6S, nous vous déconseillons donc de changer votre mobile. Et si vous avez un iPhone 6, cela ne se justifie pas forcément non plus... Et c’est bien la première fois que cela nous arrive de penser cela.

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