De son côté, Jordan, un jeune essonnien témoin des modes d'action de ses cadets, y voit la marque d’un mode de vie bercé par les réseaux sociaux juxtaposé à un manque de maturité. « Pour les petits qui ont entre 11 et 16 ans, c’est un mode de vie, nous on ne faisait pas ça à leur âge », explique le jeune homme. À 21 ans et proche des adolescents de sa ville, il perçoit une différence notoire entre les personnes de son âge et ses benjamins à quelques années près. « À mon âge, si on a envie de régler ses histoires, pas besoin de poster quoi que ce soit. C’est une histoire de conscience personnelle si on veut se venger », raconte-t-il.

Twitter comments below a video where the young Yanis can be explained about the violence whose images have been broadcast

Pour lui, le problème est relatif au fait que ces adolescents passent une grande partie de leur temps sur les réseaux sociaux et qu’ils ont grandi avec cette culture de la monstration.From his point of view, they "are used to broadcast, but it is above all something that accompanies the fact that talking about rivalries and conflicts is already a form of hobby among the little ones".Filming and posting the scenes of violence thereafter is he not relating to a particular desire at first glance, but a maneuver which is more of the reflex.And as Michael Stora confirms, "there is a fascination for violence and ultimately almost a cathartic effect for some during adolescence", also "like, share and how" (love, share and comment), goSo when by scrolling on his feeder or Instagram feed, a teenager falls on this kind of content.

An unhealthy initiation rite